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| Abigael Rhausen | |
| | Auteur | Message |
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Abigael Rhausen Pirate
Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 14/07/2008
Wanted Prime/Rang: Equipage: Type d'arme/pouvoir::
| Sujet: Abigael Rhausen Lun 14 Juil - 17:06 | |
| #Nom : Rhausen
#Prénom : Abigael
#Surnom : Pas pour l’instant.
#Sexe : Féminin
#Race : Humain
#Age : 24 ans
#Originaire : East Blue
#Rang : Pirate
#But :
- Retrouver l’équipage dont le drapeau est un crane recouvert de lierre et dont un serpent sort de l’orbite et venger ses compagnons- Récupérer la peinture de sa mère - Trouver le contenu de la boite - Honorer la mémoire de la troupe et de sa mère en devenant la plus grande artistes de toutes les mers.
# Description du fruit du Démon: J’aimerais bien en obtenir un durant une aventure, si c’est possible : )# Arme : Abigael manipule des aiguilles, plus grosses que des aiguilles normales bien sur. Environ 8 centimètres de long, et un diamètre de 3-4 millimètres. Elle peut s’en servir de plusieurs manières, soit en les envoyant sur ses ennemis, soit en les calant entre ses doigts pour en faire des griffes. # Description physique : Alors que vous déambulez dans les rues d’une petite ville de campagne, vous apercevez au coin d’une rue une jeune femme assise derrière un chevalet. Immédiatement votre regard s’arrête sur elle, sur cette mèche noire qui tombe sur une moitié de son visage. Bien vite vous remarquez que l’autre moitié de ses cheveux est blanche, avec des reflets argentés. Intrigué, vous détaillez alors son visage. Ses traits sont fins mais bien marqué, comme ceux d’une personne au meilleur âge de la vie. Quelques mimiques accompagnent ses coups de pinceaux, tantôt elle pince les lèvres et tantôt ses yeux se plissent, comme si elle cherchait à distinguer un détail précis sur sa toile. Sa concentration ne fait aucun doute. Le reste de son corps vous semble bien proportionné, vous vous surprenez même à la trouver jolie. Ses vêtements, noirs et usés contraste quelque peu avec l’impression que vous avis jusque là. Elle porte un gilet noir ouvert sur le haut de sa poitrine et tenu par des ficelles, plus bas un pantalon de toile ample et des bottes de cuir. Par-dessus tout cela elle porte une longue veste presque semblable à une cape qui la recouvre complètement lorsque brutalement elle se lève. C’est d’un pas décidé qu’elle marche maintenant dans votre direction. Sa démarche est franche, ses pas sont précis et résonnent dans la rue. Son regard est fixé derrière vous et dans ses yeux aux reflets rougeoyants vous lisez une profonde détermination. Au fur et à mesure qu’elle se rapproche, vous vous rendez compte que pour une femme elle est plutôt grande. Elle ne doit pas faire loin d’1m80 , pas tout à fait, mais pas loin. Et étant donné sa carrure, il serait surprenant qu’elle pèse plus de 70kg. Elle arrive maintenant à votre hauteur et vous dépasse. Vous sentez alors son parfum envahir votre espace. C’est un parfum épicé, aux odeurs orientales, mais autre chose fait place à cette première impression… une odeur de solvant et de peinture, plus que ses vêtements, sa peau et son être tout entier semblent en être imprégnée. Vous vous rendez alors compte qu’elle vient de tourner au coin de la rue elle qu’elle a échappé à votre regard…. visuel : ( https://2img.net/r/ihimizer/img294/8857/fillecassfw3.png ) # Caractère : Le trait le plus marquant de la personnalité d’Abigaël est son originalité, ou du moins sa recherche de l’originalité. Elle considère qu’en utilisant des moyen utilisés de tous, on arrive à des résultats obtenus de tous. Ainsi elle choisira souvent les moyens les plus détournés pour arriver à ses fins. Tenant compte de cela, on peut facilement deviner qu’elle n’a pas un caractère facile à supporter. Abigaël est orgueilleuse, intérieurement elle est persuadée d’être différente, et en fait une véritable fierté. Elle est également lunatique, changeant d’humeur de d’avis en permanence. Abigaël recherche avant tout le plaisir, elle considère que la vie n’est pas une œuvre en soi, mais bien un ensemble de tableaux, d’époques, de sentiments, qui se succèdent et s’inscrivent chacun dans un mouvement différent. Tout ces traits de caractère font d’elle quelqu’un de facétieux. Et même si ses défauts sur le plan humain sont légion et la rendent un peu désagréable, elle reste quelqu’un de bon qui a pour soucis de ne jamais empiéter sur la liberté des autres. Certes elle se considère comme meilleure et plus intéressante que les autres, mais jamais elle n’en a déduit que cela lui donnait plus de droit. Elle ne tient pas compter des considérations selon lesquels les plus forts devraient avoir plus de droits, ni de celle qui prétendent que les plus fort doivent protéger les plus faibles, elle pense simplement qu’à chaque situation elle doit faire ce qu’elle peut pour se sentir bien. En dehors de cela, Abigaël est passionnée par les arts en général et par la peinture en particulier. Elle ne manque d’ailleurs pas de prendre ses pinceaux et une toile lorsque le temps le lui permet. Elle aime se poser dans un coin et peindre un paysage, un portrait, une impression… D’ailleurs cette habitude est compulsive, cela peut la prendre n’importe quand, et quand elle commence elle est plongée dans un état second et il devient impossible de lui parler ou d’interagir avec elle. # Histoire : Dans le post suivant, parce que trop longue pour un seul message ^^;# Avez-vous lu le règlement ? Ah c’est ici alors ! Aheum… « Oui mon capitaine ! » ^^ | |
| | | Abigael Rhausen Pirate
Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 14/07/2008
Wanted Prime/Rang: Equipage: Type d'arme/pouvoir::
| Sujet: Re: Abigael Rhausen Lun 14 Juil - 17:12 | |
| #Histoire :
C’est sur une toile qu’Abigaël vit le jour pour la première fois. Sa mère, Cassandre Malui, une peintre renommée dans une partie d’East Blue avait pour habitude de peindre des tableaux prémonitoires. Naturellement cette capacité lui venait du fruit de la prémonition qu’elle n’était parvenue à maitriser que via la peinture. Cette œuvre représentait Abigaël âgée d’environ 25 ans assise sur une chaise de bois, le regard directement planté dans celui du peintre et tenant dans une main une boite close. Exactement 23 jours après que cette peinture ait été réalisée, Abigaël naquit. Elle était une enfant énergique qui ne ménageait pas ses efforts pour inquiéter ses parents. Bien qu’elle grandit en des temps troublés, son enfance fut pour le moins paisible, jamais entachée de quelque tragédie que ce soit. Avec sa mère elle apprit la peinture dés son plus jeune âge, avec le plus grand plaisir qui soit d’ailleurs. Avec son père elle apprenait les rudiments de la défense, nécessaires en ces temps troublés. En résumé, tout se passait très bien pour elle et sa famille.
Puis, un jour, elle trouva dans le grenier de la maison la peinture d’elle que sa mère avait réalisée. On ne peut savoir si c’était le pouvoir du fruit qui agissait, ou si c’était simplement l’instinct de la jeune fille, mais immédiatement elle se reconnu sur le tableau… C’était elle et elle en était persuadée. Impossible que c’eut été sa mère plus jeune, elle ressemblait trop à son père pour ça. Et impossible qu’il s’agisse d’une hypothétique sœur, sa mère était trop jeune. Beaucoup de questions lui traversèrent l’esprit, comment se faisait-il que cette peinture soi là ? Pourquoi sa mère ne lui avait-elle rien dit ? Et surtout, surtout, qu’y avait-il dans cette boite qu’elle tenait à la main ? Dans un premier temps, elle jugea opportun de ne dire mot à sa mère concernant sa découverte. Elle se mit à observer ce que celle-ci peignait avec plus d’attention que jamais, cherchant un signe, une réponse dans ses coups de pinceaux. Et au fur et à mesure qu’elle grandissait, que son esprit se faisait plus précis et perspicace, elle trouva de plus en plus de similarités entre le contenu des tableaux et certains évènements marquant de l’actualité. Ce n’est que vers ses 14 ans qu’elle comprit vraiment. A cette époque sa mère avait peint un tableau qu’elle avait à nouveau dissimulé au grenier, pensant qu’Abigaël n’avait pas eu le temps de s’en rendre compte. Celle-ci profita donc de la nuit pour aller voir de ses yeux la fameuse toile. Lorsque le drap qui la recouvrait fit valser les poussières qui se trouvaient au sol, elle fut horrifiée par sa découverte. Sur le tableau se trouvait un homme étendu à terre et se serrant la poitrine, et cet homme c’était son père. Durant plusieurs jours elle s’interrogea sur ce qui avait bien pu pousser sa mère à peindre une telle chose et à la cacher ensuite. C’est quelques jours plus tard qu’elle obtint toutes ses réponses. Alors qu’elle rentrait d’une journée de courses au village, elle découvrit le corps de son père étendu là, exactement comme sur le tableau. Mais elle su aussitôt que ce n’était pas sa mère qui l’avait tué, elle comprit à ce moment précis ce qu’il se passait, sa mère pouvait peindre l’avenir. Ceci étant, pour l’enfant qu’elle était, sa mère aurait pu le tuer elle-même que ça n’aurait rien changé, elle savait qu’il allait mourir et elle n’avait rien fait pour l’éviter. Pour cela, elle en voulu pendant longtemps à cette dernière.
C’est d’ailleurs ce qui la poussa à quitter la maison le jour de ses 18 ans venu. Tout ce qui avait trait à l’art la dégoutait alors au plus haut point, elle y associait l’insouciance, l’égoïsme et la culpabilité de sa mère. Ainsi durant quelques années elle voyagea sans argent dans toute la partie d’east blue qui lui était accessible, dormant souvent à la belle étoile et ne mangeant pas souvent à sa faim. Mais elle se sentait mieux ainsi, elle se sentait mieux seule sans personne pour la décevoir. A force de voyager et de rencontrer des gens elle devint très amer, et acquit la conviction qu’elle ne pourrait jamais compter que sur elle-même. C’est à cette époque qu’elle développa cet égo quelque peu surdimensionné. Les années passées à peindre lui aurait certainement permis de gagner quelques pièces par ci par là, mais elle se refusait à faire appel à un talent corrompu. Ainsi elle gagna sa vie en effectuant de basses besognes et des travaux souvent salissants.
Sa situation ne s’améliora jamais vraiment, mais un évènement un jour lui fit prendre conscience d’une chose qui serait essentielle pour le restant de sa vie. Alors qu’elle transportait des vivres depuis un port vers une taverne, elle surprit une discussion entre deux frères. Le premier reprochait au second d’avoir perdu une fois encore tout leur argent au jeu. Le jeu n’était pas vraiment intéressant, c’est ce que le second répondit au premier qui la marqua à jamais :
" Je savais que j’allais perdre, je le savais tu sais, mais je ne peux rien y faire, c’est plus fort que moi, j’ai tout essayé, je ne peux pas m’arrêter même quand je sais que c’est notre repas qui est en jeu et que j’ai la certitude que je vais perdre "
La phrase fit un bout de chemin dans sa tête… le choix… quand on sait ce qu’il va se passer, a-t-on pour autant le choix de le changer ? Jusque là elle en était persuadée, mais le doute germa dans son esprit. Et si sa mère n’avait pas eu le choix, et si elle avait essayé… ? En réalité ce doute avait toujours demeuré au fond d'elle, cette phrase avait simplement été le catalyseur. Elle devait en avoir le cœur net. Alors elle prit directement la direction de chez elle. Pendant plusieurs jours elle marcha aussi vite que ses forces le lui permettaient ne se reposant que lorsque son corps abdiquait. Au terme de cinq longs jours elle parvint enfin chez elle. Sa mère était là, l’attendant visiblement. Elle lui posa alors la question, et celle-ci répondit simplement :
" Je ne peux changer l’avenir. J’ai essayé, maintes fois. Mais ce pouvoir est une malédiction, il permet de voir l’avenir sans donner celui de le changer… "
Abigaël comprit son erreur et se maudit intérieurement d’avoir été si longtemps aveuglée par la rancune et la tristesse. Petit à petit elle réapprit à vivre avec sa mère, à lui pardonner et à se pardonner. Elle reprit les pinceaux qu’elle avait délaissés, les portants comme le poids de sa responsabilité, comme si ils représentaient une certaine sagesse. Avec l’aide de sa mère elle récupéra rapidement les habitudes qu’elle avait perdues ces dernières années. Pendant plusieurs mois tout se passa pour le mieux, mère et fille retrouvèrent des jours heureux. C’est à cette période qu’Abigaël développa cette propension à vouloir profiter exactement du moment présent et à vivre sa vie sans ces considérations de devoirs et de droits. Puis arriva l’inéluctable, sa mère perdit la vie. Oh pas que ce fut une tragédie en soi, cela avait été prévu et toute deux étaient au courant. Et même si elles avaient eu le temps de se préparer, cela provoqua beaucoup de chagrin à la jeune fille.
Très vite, dans cette maison elle se sentie prisonnière des souvenirs et d’une vie qui n’était plus la sienne. Elle reprit la route, mais cette fois pinceaux en main. Elle n’avait pas vraiment de rêve ou de but, juste l’envie de profiter au mieux de chaque jour.
C’est ainsi qu’elle intégra un groupe de saltimbanques qui errait de ville en ville et se produisait tous les soirs. Elle trouva leur monde fascinant, plein de couleurs et de vie. Au début elle les rejoignit seulement pour réaliser des peintures. Ainsi chaque soir durant la représentation elle réalisait des tableaux pour les spectateurs qu’elle leur vendait en fin de soirée. Son orgueil la rendait un peu seule dans cette troupe, les autres l’aimait bien pour l’argent qu’elle rapportait, mais au fond sa présence en mettait plus d’un mal à l’aise. Au fil du temps, la scène l’attira, elle voulu se produire elle aussi sous les lumières du chapiteau. Ainsi, ne s’étant lié d’amitié qu’avec le lanceur de couteaux, c’est auprès de lui qu’elle apprit les bases. Au bout de quelques mois elle rejoignit donc la scène sur laquelle elle lançait des couteaux avec autant de dextérité. Ce changement la fit entrer dans les bonnes grâces de quelques autres qui s’intéressèrent à elle davantage. Elle se faisait plus d’amis qu’elle n’en avait jamais eu. Et pour la première fois, cette rivalité qu’elle ressentait en permanence n’existait plus, elle parvenait à mettre son orgueil de côté. Ce furent certainement les moments les plus heureux de sa vie, son passé était derrière elle et elle se sentait bien.
Ce qui vint troubler cet équilibre fut l’arrivée un soir de la milice locale. Apparemment le lanceur de couteaux, originaire de cette région, s’en était enfui des années auparavant, accusé d’un crime qu’il n’aurait pas commis. Par malchance se trouvait dans l’assemblée le soir précédent un homme qui l’avait reconnu. La troupe n’ayant pas les moyens de se défendre face à ce groupe d’hommes en arme, elle fut obligée de les laisser emmener leur compagnon.
C’était sans compter sur la détermination et l’esprit borné d’Abigaël bien entendu. Celle-ci n’accepta pas qu’on enferme son premier ami. Alors une fois la nuit tombée, elle remplit ses manches d’aiguilles pour remplacer les couteaux qu’elle avait l’habitude de lancer et prit la direction de la ville. Elle se faufila dans les quartiers de la milice et parvint à trouver la cellule dans laquelle était retenu son ami. Dans la même pièce un autre homme était enfermé, visiblement un pirate saoul. Avec l’une des aiguilles elle crocheta la serrure et libéra les deux hommes. Elle ne savait pas si le second était un homme bien, mais elle n’avait pas vraiment le choix, le laisser enfermer provoquerait des complications et ne leur permettraient surement pas de fuir. De cette manière ils sortirent donc tous la prison sans se faire remarquer. Ce fut une chance qu’il ait été enfermé dans une prison de la milice locale et non dans celle de la marine, sans quoi ils n’auraient eu aucune chance. Lorsqu’ils furent dehors, sous la lumière d’un réverbère le pirate saoul eut un pas de recul en voyant le visage de la jeune fille. Il esquissa quelques mots …
" L… la f..fille de la peinture… "
Puis il plaqua ses deux mains contre sa propre bouche comme si il venait de dire quelque chose d’inacceptable. Et sans rien ajouter d’autres il partit en courant et disparut dans la nuit. Abigaël et le lanceur de couteaux rejoignirent quant à eux le campement de la troupe. Tous s’empressèrent de plier bagages avant l’aube. Plusieurs jours passèrent ainsi sans que rien de particulier ne vienne troubler la force de l’habitude. La milice n’étant plus sur son territoire, avait laissé tomber les recherches et la troupe s’était installée ailleurs là où les affaires fleurissaient. Un soir au beau milieu d’une représentation, de nouveau des hommes en armes investirent les lieux. Mais cette fois il ne s’agissait plus de gardes mais bien de pirates. Et parmi ceux-ci, celui qu’ils avaient délivré quelques jours plus tôt. Ce dernier la pointa du doigt et un gros balourd se mit à marcher vers elle. Très vite tous ses compagnons essayèrent de faire barrage, mais l’homme était trop fort et il les repoussa tous.
S’en suivit une scène très désagréable, les pirates prirent en otage toutes les personnes qui étaient là. Et ils questionnèrent Abigaël sur « la boite ». Ils voulaient savoir où était la boite qu’elle tenait sur la peinture faite par sa mère des années plus tôt. Ceux-ci étaient entrés en sa possession en pillant les maisons abandonnées qu’ils avaient pu trouver. Jamais ils ne divulguèrent ce que cette boite pouvait contenir selon eux, mais il était aisé de comprendre que cela devait avoir de la valeur. La jeune fille ne savait rien leur répondre d’autre que
« je ne sais pas encore ».
Cet interrogatoire dura un bon moment, puis le lanceur de couteaux parvint finalement à se libérer discrètement de ses liens et détacha ses compagnons. Cette fois ils prirent leurs armes : couteaux de lancer, flammes et alcool, fouet, …etc et ils se lancèrent dans un véritable combat avec les pirates. Le lanceur de couteau obligea Abigaël à fuir, en lui expliquant que de toute façon c’étaient des pirates et que la troupe ne tiendrait pas longtemps, qu'ils les auraient tué et que si elle partait au moins elle serait sauve et eux n’auraient pas ce qu’ils cherchaient. Elle courut alors dans la nuit jusqu’à ce que ses jambes ne la porte plus, elle courut jusqu’à ce qu’à l’aube et finit par s’écrouler au coin d’un rocher. Le lendemain elle monta discrètement dans une charrette qui passait par là, et surpris la discussion des deux paysans qui la conduisait :
- T’as entendu ça ? Ce cirque qui a été décimé l’autre soir ? - - Oui, parait que c’est une fille qui a fait le coup , c’est la seule qu’ils ont pas retrouvé - - Pfeu, foutaise, une gamine pourrait pas faire ça, je suis sur que c’est un coup de ces pirates qui sont au port en ce moment - - On s’en fiche à qui c’est la faute, c’est ce que la marine croit qui compte… - - Ouais t’as raison… pauvre gamine, j’aimerais pas être à sa place quand ils vont lui tomber dessus, coupable ou pas… -
Elle était maintenant une hors la loi … son visage n’était pas connu, mais son nom lui l’était. Et elle devait être prudente, certaines personnes, là où elle s’était produite devait se rappeler d’elle. Elle devait donc s’en aller loin d’ici, loin d’East Blue. Mais avant cela elle avait des choses à régler. Elle devait apprendre qui étaient ces pirates, elle devait récupérer sa peinture, découvrir ce qu’était cette boite et finalement venger ses amis disparus, et honorer leur mémoire en devenant la plus grand artiste qui soit, en portant leur esprit au delà de la mort. Elle se rendit donc sur le port, discrètement et repéra le bateau des pirates, celui-ci était bien gardé. Elle su qu’en l’état actuel des choses elle ne pourrait rien. Alors elle mémorisa leur drapeau, une tête de mort couverte de lierre avec un serpent sortant par l’œil gauche. A jamais elle s’en souviendrait…
Après une journée qu’elle passa à tourner les choses dans tous les sens dans sa tête, elle parvint à une conclusion : Elle devait devenir un pirate, compte tenu de l’incident du soir précédent elle ne pouvait plus aller voir la marine ni devenir chasseuse de prime. Les seules compétences qu’elle avait pour l’instant dans le combat se bornaient à lancer des aiguilles. Cela serait certainement utile quelque part. Et puis elle avait toujours ce talent pour la peinture qui pourrait lui servir, notamment pour cartographier les océans et les lieux qu’elle visiterait. Elle se mit donc en quête d’un équipage qui voudrait bien d’elle et d’un pouvoir qui lui permettrait d’affronter ces pirates au crâne de lierre et à l’œil en serpent….
(voilà j'ai pris quelques libertés, en espérant que ça vous conviendra quand même ^^; )
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| | | Bepo Heart Pirate
Nombre de messages : 669 Age : 30 Statut : Pirates Date d'inscription : 04/05/2008
Wanted Prime/Rang: Equipage: Hearts pirates Type d'arme/pouvoir:: Pas encore connu
| Sujet: Re: Abigael Rhausen Lun 14 Juil - 18:19 | |
| Bienvenue, Tout d'abord, J'ai trop la flemme de lire toute la fiche mais rien que de la parcourir, elle ets super génile. Te tiens à te dire que tu es validé, Mais attends qu'un admin te rajoute pour Rp. | |
| | | Trafalgar Law Heart Pirate
Nombre de messages : 1620 Age : 31 Statut : Capitain pirate Fruit du démon : Taga Taga No Mi Localisation : Sur le Heart Navire Date d'inscription : 14/11/2007
Wanted Prime/Rang: 200.000.000 Berry Equipage: Heart Pirates Type d'arme/pouvoir:: Sabre/ Le fruit de l'échange
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| | | | Abigael Rhausen | |
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